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Par halima-relaxation le 3 Janvier 2019 à 12:56
Ici les Alpes de Lumière:
Que 2019 soit pleine de douceur pour nous tous , pleine de rencontres vraies, de partage du cœur et de conscience.
Que notre humanité divine trouve le chemin de son expression et que nous puissions tous la manifester là où nous sommes.
Enfin que les énergies de Lumière circulent de mieux en mieux dans nos corps, nos Ëtres et sur notre Terre Mère.
Puisse l'humanité prendre en charge sa responsabilité de la Vie sur cette Terre si généreuse et patiente avec nous.
Puissions nous trouver la voie (x) qui nous conduira à cette matérialisation du nouveau monde, chacun avec ses capacités propres .
Belle année à nous tous Halima
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Par halima-relaxation le 16 Novembre 2018 à 20:54Par halima-relaxation le 16 Novembre 2018 à 14:35
Où que tu sois , d'où que tu viennes , où que tu ailles , le même sang coule dans nos veines, nos poumons respirent et nos corps s'alimentent d'oxygène, d'eau et de nourriture, nous aspirons à vivre simplement dans la paix et de manière décente. Nous aspirons au respect et à la joie.
Nous devons avoir les mêmes droits à la Vie, à l'épanouissement de nos êtres, droit à une vie harmonieuse, droit à la liberté de mouvement et de territoire, droit l'échange et au partage, droit à la parole, à la communication ou au silence, droit à l'écoute, droit à l'espoir.
Ces droits sont notre lien d'humanité, de ressemblance entrehumains ,mais aussi avec toute forme de vie qu'elle soit animale, végétale ou minérale. Nous sommes tous locataires de la Planète et avons tous le droit d'y vivre en Harmonie avec Qui nous sommes profondément, chacun avec sa spécificité, qui fait aussi la beauté et la richesse du TOUT.
Retrouver l'unité dans la différence, retrouver le Sacré de la Vie qui coule en tous, et le manifester. .
Halima
votre commentairePar halima-relaxation le 2 Décembre 2017 à 16:05novembre 2018
Le challenge est toujours d'actualité voir plus encore que l'année passée. Le gris envahit l'espace des coeurs et il y a urgence a ramener la lumière partout où elle peut briller!
Et si nous étions nous aussi des optimistes, si nous pensions aussi que le meilleur est à venir et qu'il dépend seulement de notre bonne volonté? Alors nous retrousserions nos manches comme beaucoup le font déjà et nous solliciterions notre imagination. Nous nous connecterions à d'autres créatifs, et pleins d'espoir et nous deviendrions comme des fourmis qui n'hésitent pas à prendre à bras le corps des charges tellement plus grandes qu'elles!
Alors si une fourmi peut le faire , pour quoi pas les humains???? Et si nous ouvrons nos yeux et nos coeurs, nous allons voir un autre monde se mettre en place. Il est déjà là, porté par des milliers d'initiatives citoyennes qui se prennent en main et ne laisse plus le pouvoir aux décideurs. Ils osent autre chose. Mais la plupart se sont regroupés et marchent ensemble. Alors faisons naître les idées et ensemble accouchons les dans le monde. Celui qui nous attend comme décideurs et constructeurs. La suite fait écho à ces lignes.... Halima
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Par halima-relaxation le 16 Novembre 2018 à 20:48
La vieille dame grincheuse
ce poême a été trouvé dans les affaires d'une vieille dame d'origine irlandaise, après sa mort au service de gériatrie du C.H.G. de Dieppe:
Que vois-tu, toi qui me soignes? Que vois-tu? Quand tu me regardes, que penses -tu?
Une vieille femme grincheuse, un peu folle, le regard perdu, qui n'y est plus tout à fait;
Qui bave quand elle mange et ne réponds jamais; qui, quand tu dis d'une voix forte "essayez!",
Semble ne prêter aucune attention à ce que tu fais, et ne cesse de perdre ses chausures et ses bas;
Qui, docile ou non, te laisse faire à ta guise, le bain et le repas pour occuper la longue journée grise.
C'est çà que tu penses? C'est çà que tu vois?
Alors ouvre les yeux: ce n'est pas moi.
Je dois te dire qui je suis, assise là si tranquille, me déplaçant à ton ordre, mangeant quand tu veux.
Je suis la dernière de dix, avec un père et une mère, des frères et des soeurs qui s'aiment entre eux;
une jeune fille de seize an, des ailes aux pieds, rêvant que, bientôt, elle rencontrera un fiancé;
Mariée à vintg ans. Mon coeur bondit de joie au souvenir des voeux que j'ai faits ce jour là.
J'ai vint-cinq-ans maintenant et un enfant à moi, qui a besoin de moi pour lui construire une maison.
Une femme de trente ans; mon enfant grandit vite. Nous sommes liés l'un à l'autre par des liens qui dureront.
Quarante ans; bientôt il ne sera plus là, mais mon bonhomme est à mes côtés, qui veille sur moi.
Cinquante ans; A nouveau, autour de moi, des bébés. Me revoilà avec des enfants, moi et mon bien- aimé.
Voici les jours noirs, mon mari meurt. Je regarde le futur en frémissant de peur,
car tous mes enfants sont occupés à élever les leurs.
Et je pense aux années et à l'amour que j'ai connus.
Je suis une vieille, maintenant, et la nature est cruelle, qui s'amuse à faire passer la vieillesse pour folle.
Mon corps s'en va, la grâce et la force m'abandonnent, et il y a maintenant une pierre là où, jadis, j'eus le coeur.
Mais, dans cette vieille carcasse, la jeune fille demeure, dont le vieux coeur se gonfle sans relâche.
Je me souviens des joies, je me souviens des peines, et à nouveau je sens ma vie et j'aime.
Je repense aux années trop courtes, trop vites passées et accepte cette réalité implacable que rien ne peut durer.
Alors ouvre les yeux, toi qui me soignes, et regarde: Non la vieille femme grincheuse. Regarde mieux : TU ME VERRAS !!
Puissions - nous savoir nous aussi ouvrir nos yeux en regardant ceux dont la vie s'achève et pouvoir leur donner un regard plus aimant.....halima
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Par halima-relaxation le 24 Juin 2017 à 18:27
Changer les habitudes quelles qu'elles soient, les rythmes, les modes de penser, les manières de prendre la vie.
Changer ce que nous connaissons, que nous pratiquons depuis parfois toujours, en tout cas très longtemps, pour oser faire entrer ce que nous n'avons pas pratiqué jusqu'alors.
Oser ne plus être dans l'adversité, mais dans la complémentarité, dans l'échange des idées plutôt que dans le rejet systématique de ce qui est différent de nos modes personnels de fonctionnement. Si nous acceptions l'idée de construire au lieu de démolir?
Oser donner le droit à l'essai plutôt que d'asséner immédiatement le jugement négatif ou la dévalorisation.
Oser l'espérance plutôt que la désespérance.
C'est peut -être cela grandir. Oser ne plus se crisper en cramponnant ce que nous savons obsolète mais auquel, finalement, nous tenons comme à la prunelle de nos yeux, par routine, confort, ou peur de l'inconnu, peur de perdre nos avoirs, nos soi- disant acquis..
Alors nous nous replions, nous fermons la porte à la nouveauté qui vient nous chercher, qui ose se proposer à nous. Nous cherchons vite les failles de cette nouveauté, nous essayons de nous rassurer en la trouvant stupide ou pire malveillante.
Et si nous acceptions l'ouverture, si nous nous posions autrement qu'en pauvres petits caliméros que l'on veut persécuter. Si nous décidions d'oser avancer vers l' autrement, l'autre chose , juste pour voir ce que c'est vraiment. Si nous décidions de relever nos manches pour apporter notre touche personnelle à l'édifice de la vie, notre petite goutte de colibri ?
Si nous laissions à nouveau le mouvement de la vie nous prendre, nous secouer, nous entraîner vers d'autres rives, d'autres rêves, d'autres espérances? Si nous nous laissions toucher au profond de notre être pour percevoir la vie autrement? Si nous osions poser les pieds , l'un après l'autre , consciemment , ou à pieds joints sur le sol de la planète nouveauté, pour nous , pour notre monde?
Assurément nous nous sentirions plus vivants, plus grands, plus créatifs, plus joyeux, plus libres et plus complets, parce que nous aurions repris notre droit à la vie en mains. Parce que nous serions à nouveaux artisans de celle -ci , au lieu de subir la passivité, ou le mépris.
Parce que nous aurions repris la parole, la vraie, celle qui nous représente réellement . Parce que nous accepterions à nouveau d'expérimenter au lieu de rester figés sur le seuil de la vie. Parce que nous nous serions remis en route plutôt que de subir. Parce que nous nous redonnerions le droit à l'erreur et à la découverte.
Parce que nous accepterions d'être déstabilisés, dépoussiérés et vulnérables.
Mais c'est à ce moment là que nous serions dans la vraie vie, la vraie force, celle qui donne le courage d'essayer, de tenter, d'oser, de croire encore à un meilleur possible, à un plus grand, un plus vivant, un plus optimiste, un inconnu qui nous emporte dans une aventure renouvelée et ouverte à la créativité; celle qui sommeille en chacun de nous; celle qui attend que les humains se manifestent dans leur plus beau et fasse vivre autrement cette planète qui nous offre pourtant le meilleur à chaque instant, en attendant patiemment notre réveil!
Alors on se met debout? On ouvre la porte et on sort de notre peur pour rencontrer la vie ?????? On ose lui dire oui???? Cela appartient à chacun de nous et ne peut être fait par personne d'autre à notre place.....
Bonne route vers le renouveau possible. Halima
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Par halima-relaxation le 26 Avril 2017 à 18:12Quand les hommes vivront d'amour Il n'y aura plus de misère
Quand les hommes vivront d'amour ce sera la paix sur la terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous nous serons morts mon frère
Dans la grand' chaîne de la vie Où il fallait que nous passions
Où il fallait que nous soyons nous aurons eu mauvaise partie...Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère Et commenceront les beaux jours,
Mais nous, nous serons morts, mon frère...
Mais quand les homm's vivront d'amour
Qu'il n'y aura plus de misère,
Peut-être song'ront-ils un jour
A nous qui serons morts, mon frère
Nous qui aurons, aux mauvais jours
Dans la haine et puis dans la guerre
Cherché la paix, cherché l'amour
Qu'ils connaîtront, alors, mon frère,
Dans la grande chaîne de la vie,
Pour qu'il y ait un meilleur temps
Il faut toujours quelques perdants,
De la sagesse ici bas c'est le prix
Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère et
Commenceront les beaux jours
Mais nous, nous serons morts, mon frère... Il n'y aura plus de misère Et commenceront les beaux jours Mais nous nous serons morts mon frère ..... Félix LECLERCIl faut encore y croire, nous qui sommes bien vivants.Il ne faut pas abandonner le plus grand de tous les chantiers.A notre tour de tenir, d'avoir foi en notre avenir, de notre dignité c'est le prix.Pour tous ceux qui ont fait ce chemin, au prix parfois de leur destin.Pou r tous les enfants à venir pour qu'ils puissent vivre et grandirContinuer à réclamer pour tous, droit à la dignité.Poser des actes fraternels, pour tous exiger l'essentiel.De notre humanité c'est le prix.Pour pouvoir encore sourire, à l'autre qui croise librement nos pas,quelle que soit sa race ou sa foi, avoir le droit de l'accueillir.Pour pouvoir encore me sourire si dans le miroir je me vois,Pour pouvoir tendre la main et espérer au lendemain,Croire qu'égal est encore possible, que le meilleur est à construire,sans oublier notre terre mère et tout ce qu'elle porte en son sein.Croire encore qu' elle est entre nos mains, la grande chaîne de fraternité,Alors seulement nous pourrons reposer, en confiant notre chantier,à la source de toute vie, contents d'avoir existé, d'avoir grandi l'humanitéCroire encore et toujours en ce rêve de possible liberté, d'égalité, de fraternité.A nous de le construire jusqu'au moment ultime de nos précieux chemins.Sur la route de la Fraternité humaine. Halima
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